mardi 1 mars 2022

Le nerf de la guerre

Pour financer tout ce qui s'est passé depuis 2020, il faut de l'argent, énormément d'argent. 

Avec cet élément, on peut tout faire, gagner des guerres, changer les régimes, créer des pandémies, puis des prétendus remèdes, endormir des populations entières. Mais voilà, quand il n'y a plus assez d'argent, ça ne marche plus et les gens ne comprennent plus pourquoi on ne finance plus leurs révolutions...L'argent vient en retard, puis plus du tout.

Les masques sont tombés pour l'histoire du covid. Cette opération a eu pour but d'enrichir un petit groupe que Jean-Jacques Crèvecoeur appelle, à juste titre, des ''psychopathes milliardaires", un club dont certains sont connus comme Bill Gates et George Soros, mais la plupart des autres ont réussi à garder un parfait anonymat, surtout à des échelons moins importants.

Mais voilà, maintenant, on s'est rempli les poches par avidité, on a peur du peuple, car le peuple, quand il a du pain et des jeux, il est content, mais quand il n'y a plus de pain, on fait comment ? Il y a un truc utile aussi quand on a de l'argent, c'est qu'on peut contrôler ce qui figure dans les médias officiels en payant grassement journaux et journalistes. Aïe, mais il y a Internet, et sur le web, ce petit groupe n'est pas tellement en odeur de sainteté... 

Du pain, on en a eu durant la crise covid, laissant imaginer que les capitaux étaient illimités, donc on peut rester à la maison à sauver des vies sans rien faire tout en étant payé. Vraiment ? On déconseille de répondre aux mails d'offres promotionnelles lorsque les promesses ont l'air trop belles pour être vraies, mais là on y croit sans se poser de question une seule seconde. 

C'est le moment de ressortir deux expressions françaises qui viennent à point nommé conclure cet article, telles des morales de La Fontaine : Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse et Bien mal acquis ne profite jamais.

Mais hélas, parfois... : 


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